Je pensais devancer Karambolage sur un sujet interculturel : Orangina. Le brouillon était prêt, l’article en cours de programmation… et voilà que dans son émission d’il y a deux semaines, le sujet a été traité (pour visionner la vidéo : c’est ici). Tant pis pour moi, j’aurais dû être encore plus rapide !

En mauvaise perdante, j’ai quand même un complément à apporter sur le sujet : saviez-vous que la boisson commercialisée en France et celle commercialisée en Allemagne n’ont pas le même goût ? Dans l’Orangina français, la saveur de l’orange paraît plus naturelle, tandis que l’Orangina allemand paraît plus fade et plus artificiel. J’ai comparé pour vous. Avec un Allemand le plus expert sur le sujet : mon coloc’, qui voue un véritable culte à l’Orangina… français. À tel point que sur un célèbre réseau social, il pose sur sa photo de profil avec une canette de la boisson – française, bien évidemment. Alors depuis que je connais sa passion pour l’Orangina (c’est-à-dire quelques jours après mon arrivée en Allemagne), à chaque aller-retour français, je lui en rapporte un lot. Et à ce propos, futurs visiteurs de France, c’est la seule taxe de séjour que je vous demande lorsque vous venez me rendre visite : de l’Orangina.
Maintenant que j’ai pu goûter à la différence entre deux types d’Orangina, il ne me reste plus qu’à couper l’herbe sous le pied à Karambolage pour réaliser un test comparatif des deux boissons à la manière de leur vidéo essayant de comprendre l’existence de deux versions différentes d’une célèbre pâte à tartiner aux noisettes de part et d’autre du Rhin. Je vais mener l’enquête pour essayer de comprendre l’existence de deux saveurs différentes. Et si Arte publie la vidéo avant la mienne, je n’aurai plus de doute : Karambolage espionne mes brouillons d’articles.

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