Mon année en Allemagne se termine bientôt, Apfelschorle va donc basculer de l’autre côté de sa ligne éditoriale (souvenez-vous : je vous la décrivais ici) : de journal de bord, le blog remplira désormais davantage sa fonction de promotion du Programme Élysée Prim… avant de sans doute un jour rebasculer en journal de bord quand je remettrai les pieds en Allemagne. Que les lecteurs les plus fidèles soient cependant rassurés, puisqu’il me reste encore des articles à publier au sujet de mon année d’échange. Je continuerai également à écrire sans doute l’année scolaire prochaine – moins fréquemment, mais quand même. Vous pouvez donc ranger vos mouchoirs, l’Abschiedsartikel (mot employé par mon coloc’ pour désigner mon dernier article sur le blog – quand je vous disais que tout mot pouvait être Abschied-quelque chose) n’est pas pour aujourd’hui.
Revenons au sujet du jour.

Ah, Berliiiiiiin… rien qu’en prononçant son nom, ma bouche soupire et mes yeux se mettent à briller. D’amour et de nostalgie. Je ne saurais décrire la relation qui me lie à la capitale allemande, mais à chaque fois que l’on se rencontre, la magie opère. Sans doute parce que nous vivons notre grand amour le plus souvent à distance, et que nous ne nous retrouvons que pour partager les bons moments. Peut-être est-ce d’ailleurs la raison pour laquelle quand je suis à Berlin, je ne me sens ni